Les premiers secours en santé mentale sont l’équivalent des gestes de premiers secours qui eux apportent une aide physique. Cette formation permet à tous ceux qui le souhaitent d’apprendre à apporter une aide à une personne qui subit le début d’un trouble, une détérioration d’un trouble ou une phase de crise de santé mental
Qui peut se former aux Premiers Secours en Santé Mentale ?
Tout-un-chacun peut se former aux PSSM : aucun prérequis n’est nécessaire et la formation est ouverte pour tous : étudiants, personnels du médico-social, usagers, personnels municipaux etc…
PromesseS s’est très vite engagé dans cette nécessité de former le plus grand nombre aux premiers secours en santé mentale. En effet, développer ces formations, c’est aussi mieux accompagner les personnes touchées par la maladie psychique et lutter contre la stigmatisation.
Ainsi, aux derniers pointages, PrommesseS a permis à un de ces membres de faire partie des 187 formateurs prêts à former à cette heure ! Un deuxième devrait être formé.
Une formation en « interne » de PromesseS sera proposée prochainement : dès que les conditions sanitaires le permettront, des dates seront fixées.
Cette formation standard qui se déroulent sur 2 jours, peut également s’organiser sur 4 demi-journées. N’hésitez pas à vous manifester si vous souhaitez devenir secouriste en santé mentale.
Objectifs des formations :
- Devenir secouriste en santé mentale : améliorer la détection et l’intervention précoce face aux troubles psychiques.
- Améliorer les compétences psychosociales des participants ;
- Posséder des connaissances de base concernant la santé mentale ;
- Savoir appréhender les différents types de crise en santé mentale ;
- Développer des compétences relationnelles : écouter sans jugement, rassurer, donner de l’information ;
- Mieux faire face aux comportements agressifs ;
- Tester et approprier un plan d’action utile pour apporter un soutien immédiat sur des problèmes de santé mentale.
Vous désirez plus d'infos ?
> Nous vous conseillons la lecture d'un article dédié au sujet paru dans la lettre aux adhérents de Santé Mentale France n°2 que vous trouverez en cliquant ici.